« Olivia ? Tu m'écoutes oui ou merde ? » me demande une fille que je connais suffisamment bien, puisqu'elle est à côté dans pratiquement tous mes cours à l'université. Je sais pas comment ça se fait qu'on a autant de cours en commun, mais bon. Si je lui réponds merde, elle va être vexée, vous croyez ? La cloche de fin des cours sonne et je sais que j'ai fini, il est une heure de l'après-midi et je finis toujours tôt le vendredi. Cet après-midi, je travaille et ce soir je ne sais pas encore ce que je fais. Je verrai suivant mon humeur... Peut-être que je sortirai dehors, ou que j'irai voir Cade, ou mon frère, ou Ahàron, je sais pas, j'en ai aucune idée. Enfin bref. Je me lève, prends mes affaires et sors du cours sans avoir répondu à l'autre. Non, je m'en fous pas de sa gueule, mais un peu quand même. En plus, je pensais à autre chose pendant le cours. Mon téléphone vibre, je regarde pas qui c'est, j'ai la flemme de mater qui m'a envoyé un sms. Peut-être que c'est important, mais fallait appeler, pas envoyer un fucking sms alors que tout le monde sait que je regarde rarement mes sms à cette heure-ci. J'ai besoin de manger, j'ai faim. Je vais passer chez moi avant de faire quoi que ce soit d'autres. J'irai travailler après. En parlant de travailler, j'aime bien bosser à Victoria's Secret, surtout que les sous-vêtements sont magnifiques et qu'on peut en avoir certains exemplaires en y travaillant. Quand j'ai envie de rendre dingue Cade, par exemple, ça marche largement bien. Mais je sais pas si j'ai envie de le voir, ce soir, peut-être même qu'il sera avec une de ses pouffiasses avant que j'ai le temps de faire de lui demander ce qu'il fait et j'ai pas envie d'avoir affaire à une de ces connasses. Il me fait bien trop chier avec ça pour que j'en rajoute une couche avec moi-même. Est-ce que moi je baise avec le premier con qui passe ? Non. Il pourrait au moins en faire autant, puis sa putain de devise à la con. Je suis jeune alors je dois profiter de la vie... pff. Sale con. Si une fille disait ça, on la traiterait surement de salope ou quelque chose du style. Quoi qu'il en soit, j'en reviens à la conclusion que je ne sais pas vraiment si je veux le voir ce soir, même si dans le fond, j'en crève d'envie, parce que Seigneur Jésus, Cade est vraiment bon au pieu. Puis même quand je l'engueule, il trouve toujours le moyen de tourner la situation à son avantage et finis toujours par m'avoir au bout du compte. Ça me fait chier à un point introuvable dans l'espace.
Putain, parfois, j'ai envie de frapper des filles. Certaines me sortent : mais je suis trop grosse pour cette couleur. Non, madame, vous ne l'êtes pas. Cette couleur vous va très bien et blablabla. Certaines filles sont des putains de cure-dents et elles se trouvent encore trop maigres. Savent-elles que 0 n'est pas une taille ? Enfin bref, si elles veulent crever d'anorexie, c'est leur problème, mais faut qu'elles sachent que les mannequins de Victoria's Secret comme Rosie Huntington-Whiteley, Miranda Kerr et tout le bordel sont pas anorexiques. Puis, parfois y a des mamies qui doivent avoir 3 générations de gosses après elles qui viennent me demander quelle couleur leur irait le mieux entre le rouge et le rose... what the fuck ? Tu vas pas porter ça devant ton papy impuissant, mamie. Mais bon, si ça les amuse, qu'elles y aillent. Elles se payent surement un boy toy qui les fait monter jusqu'au septième ciel et je le plains. J'espère au moins pour ces mecs-là qu'ils sont bien payés, sinon, ça sert à rien. Anyway. Je suis devant ma télé, d'ailleurs, shit, j'ai toujours pas lu le message de ce matin. C'est Cade. Il me dit qu'il passera à la maison ce soir, donc, maintenant ? Je suppose que oui. Faut que je me change alors, je vais pas lui ouvrir en pyjama. Non, je vais mettre les sous-vêtements que j'ai pu prendre à la boutique tout à l'heure. Putain, c'est tellement magnifique, j'aime tellement cette marque. J'aime ce magasin. Je pourrais tellement passer ma vie dedans, dormir à l'intérieur. Sauf que je veux pas toutes les pouffiasses avec un égo-surdimensionné qui passent tous les jours. J'enfile un mini-shorty par-dessus et une veste grise qui me va trop grande puisqu'au départ, elle était à Jaxhuem, mais elle était bien confortable, alors je lui ai peut-être volé... je suis un ange. Je suppose que c'est lui - Cade, pas mon frère, hein - qui frappe à la porte... j'appuie sur la poignet et lui ouvre. Je me mords la lèvre inférieure en le voyant devant moi, un sourire se formant sur mon visage. « Désolée de pas avoir répondu à ton sms, j'avais la flemme de le lire, puis j'ai oublié que j'en avais reçu un. Enfin bref, rentre ! » que je lui dis, alors qu'il rentre et que je ferme le porte derrière lui. Je le fixe, appuyée sur le dos de la porte, alors qu'il se retourne vers moi...
Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Dim 16 Jan - 16:18
Forgive us Jax', we love to sin
« Merde les gars, si ma femme était aussi bien roulée que ces filles, je serais le plus heureux des hommes ! » C'est clair que, question sex appeal, les filles du calendrier Playboy écrasent à plates coutures la femme de ce pauvre Ben ! Il fallait dire que cette dernière n'avait plus rien de la femme que Ben avait épousé il y a près de 25 ans de cela. A croire qu'en se mariant, une femme a parfois tendance à jeter aux oubliettes sa féminité, préférant se consacrer à ses gosses et à son job. C'est clair que Ben, il est grave à la ramasse niveau bombe anatomique ! Cade, lui, il n'avait pas vraiment ce genre de préoccupation et de fantasme, pas du tout même. Lorsqu'il voulait une fille, c'était simple, il l'avait. Cependant, que cela ne le fasse pas tomber pour la pire enflure qui soit, il ne forçait jamais aucune fille à lui succomber, et jamais il ne faisait miroiter à aucune d'entre elles un quelconque joli futur, vous savez, le genre de futur qui vous amène au joli pavillon de banlieue avec la belle barrière blanche, le bon gros chien et les 2 gosses et quelques qui courent dans le jardin. Il alignait énormément de demoiselles, et pourtant, il n'en voyait pas le bout ! Détroit était pas le bled paumé du coin, certes ! Il regardait en souriait ces collègues se battre à moitié pour être le premier à feuilleter le tout nouveau calendrier. Ce soir, il savait que la majorité d'entre eux rentrerait dans leur foyer retrouver leur petite amie ou leur femme, mais lui, il avait d'autres plans, bien plus torrides et plaisants ces plans. « Je comprends pas ... Tu te fringues à l'arrache, t'as les cheveux en vrac, mais tu alignes quand même ! Et vu ton sourire, ce soir, ça va y aller ! » Ben n'avait aucune idée de ce à quoi allait ressembler la soirée de Cade, mais, si tout se passait bien, le jeune homme allait absolument s'éclater ce soir ! « T'imagines même pas ! » Ouais, parce que ce soir, voyez vous, il allait voir Olivia chez elle, et comme à l'ordinaire, ça allait décoiffer. Elle n'était pas plus sa petite amie ou son exclusive que les autres filles avec lesquelles il couchait, mais une chose était sûre, elle était différente des autres, chiante et addictive aussi. Le piment dans la relation, il ne se situait pas qu'au niveau des liens sanguins de la demoiselle avec l'un des meilleurs amis de Cade, nan, c'était bien plus compliqué. Il arrivait fréquemment que Cade se sente des envies de meurtres vis à vis de la demoiselle, quand, le reste du temps, en fait, il avait des envies bien particulières et toutes différentes à son encontre. Les filles du calendrier Playboy, elles n'étaient pas Olivia, et certaines d'entre elles n'étaient pas si attirantes que ça à ses yeux. Certaines viraient un peu trop dans le vulgaire selon lui, cependant, ne vous trompez pas, cela ne le gênait pas la plupart du temps, il couchait avec les filles qu'il trouvait mignonne, tant pis pour leur manière de se fringuer. Il ne les traitait pas mal de toute façon, et avait parfois pitié de ces filles qui semblaient n'avoir que leur corps à mettre en avant. Être le fils d'une ancienne stripteaseuse, faut croire que ça laisse des traces ...
Évidement, pour faire chier, Olivia n'avait pas répondu au sms qu'il lui avait envoyé le matin même, un peu après la découverte du calendrier en fait. Résultat, il allait se pointer chez la demoiselle sans avoir eu la moindre réponse. Cela ne l'inquiétait pas plus que ça, c'était une attitude qui ne lui était pas étrangère vis à vis d'Olivia. Elle aimait bien le faire chier et l'emmerder, et adorait aussi le menacer de tout un tas de choses. Alors, oui, mademoiselle aimait se faire désirer et remarquer, et Cade n'allait certainement pas s'en plaindre dans le fond, même si, à voix haute, il en disait bien autrement. Il arrivait en retard, c'était un peu sa façon de se venger et de la faire languir, sûr et certain que même si elle ne lui avait pas répondu, elle l'attendait. Et une Olivia agacée et un peu énervée, c'est toujours du pétillant en plus à prévoir ! Avec elle, c'était tellement explosif qu'il ne pouvait pas s'empêcher de continuer à entrer dans son jeu. Oui, bon, si Jax' venait à être au courant, à coup sûr, le lendemain, le jeune homme marcherait moins bien, voire même plus du tout. Si seulement la dernière fois Liv' avait sû garder l'info' pour elle au lieu de tout balancer de cette histoire de cul entre eux à son grand frère. Le jeune homme ignorait ce qui lui était passé par la tête, mais il se disait qu'elle avait cependant dû garder quelque retenue, puisque jamais Jax', lorsqu'il lui avait fait la leçon et qu'il l'avait remis en place, ne l'avait pas défenestré en se plaignant de leur baise dans son pieu à lui aussi. A l'époque de l'incident, Jax' et Cade étaient colocs, et il ne va pas sans dire que l'ambiance avait quelque peu été tendu par la suite. Mais visiblement, cela n'avait pas suffisamment marqué Cade, qui avait repiqué très rapidement en se remettant à satisfaire sexuellement Olivia. S'il savait que cela continuait encore aujourd'hui entre son pote et sa sœur, pour sûr, Jax' péterait une durite. Si ça se trouve, il virerait encore plus rouge que la dernière fois, il aurait été mignon en mode tomato si seulement Cade n'avait pas pris un peu crainte ! Putain, y avait pas à dire, Olivia avait un corps de déesse, la fille de Satan sous des traits angéliques, du Viagra sous traits humains ! Cade put une nouvelle fois le constater lorsque la demoiselle lui ouvrit la porte de son appart' après qu'il y ait frappé. Il n'avait pas sonné parce qu'il savait qu'elle n'était pas loin, il le sentait. A coup sûr, elle allait prétendre que, non, elle ne l'attendait pas avec plus d'impatience que ça, mais le jeune homme adorait penser tout le contraire. Il y prenait même un sacré petit plaisir malsain, ou pas. Les courbes d'Olivia se dessinaient sous ses vêtements assez peu couvrants en réalité, et le jeune homme se disait que la nuit allait encore promettre. Allez, une petite excuse par là, à laquelle il ne croyait pas réellement parce qu'il s'y était attendu, et le voilà qui entrait. Olivia aimait jouer les distantes et les inaccessibles parfois, et lui la laissait continuer à jouer à ce petit jeu. Après tout, cela lui laissait des centaines de possibilités sexuelles et sensuelles par la suite, alors il refusait de s'en priver ! Il se défit de son blouson, en grimaçant à la dérobée lorsque son regard se posa une fraction de seconde sur cette photo encadrée de Jax' posée sur un meuble dans l'entrée. Désolé Mec, mais la suite ne va pas te plaire ! Par réflexe, Cade tendit la main vers le cadre, penchant celui ci face contre le meuble. Au revoir regard réprobateur de Jax' ! Posant de nouveau le regard sur Olivia, il ne put s'empêcher de sourire de ce sourire bien à lui. « J'aurais dû faire l'impasse sur la phase séchage de cheveux, je suis sûr que ça m'aurait permis de te surprendre et d'assister à un magnifique spectacle ... Mais la soirée ne fait que commencer ... » Lui décochant un regard des plus prometteurs, il s'approcha d'elle, tendant la main vers l'une de ses hanches, et penchant les lèvres dans son cou, effleurant l'épiderme de ses lèvres. « So ... Missed me ? »
Dernière édition par Cade A. Adams-Wright le Lun 17 Jan - 14:32, édité 1 fois
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Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Lun 17 Jan - 13:12
Cade, j'ai envie de le frapper parfois, mais il trouve toujours le moyen pour que cette envie passe et laisse place à une toute autre envie, qui n'est autre que de la baiser. Il fait ça trop bien et ça me fait chier. Il s'éclate à baiser la première connasse, salope, pute qu'il croise. Putain, si je devais me taper chaque mec qui m'adresse la parole et/ou qui me fait des avances, je me serais déjà tapée la moitié de la ville. Mais moi, je suis pas comme lui. Je suis pas une salope. Il l'est pour deux, je crois. Il y a longtemps, j'avais dit à Jax que j'avais baisé Cade... il m'en avait un peu voulu, mais largement moins qu'à Adams. Il avait fait chier Cade pendant un bout de temps, mais on avait quand même recommencé et on s'est jamais arrêté. Je sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. Ma fierté me pousserait à dire que c'est lui qui revient vers moi à chaque fois, mais ce serait un mensonge. Les trois quarts du temps, c'est moi qui retourne le voir à chaque fois. Je sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. Il en vaut probablement pas la peine, il est trop bon au pieu pour que je me préoccupe de ça. J'arrive juste pas à résister quand il est dans le coin. J'arrive pas à me contenir et lui dire non. Pourtant, parfois, j'en ai envie, mais j'y arrive pas. Il le sait, que quand il pose ses lèvres sur les miennes, je tiendrais pas plus de dix minutes, grand maximum quinze. Mais de toute façon, je m'en fous. Je suppose que quand Jax apprendra qu'on s'est pas arrêté depuis la première fois, il va exploser la gueule de Cade et je pèse mes mots quand je dis ça. Je connais mon frère et je sais qu'il est vachement protecteur, même s'il passe son temps à me faire chier. Enfin, c'est pas comme s'il pouvait vraiment me dire ce que je peux et ne peux pas faire. Même s'il essaie tout le temps, ça fonctionne jamais, parce que j'aime pas recevoir d'ordres. Encore moins de lui. Mais bon, s'il pense que je serais capable de l'écouter, c'est bien, il a de l'espoir. Ça a surement dû faire chier Cade que j'ai pas répondu à son sms, mais il avait qu'à m'en envoyer un autre, j'aurais pu penser à vérifier comme ça. Mais non, lui, il en envoie qu'un, puis même si on répond pas, il vient quand même. Enfin bref, il frappe à la porte et je vais lui ouvrir en lui disant de rentrer.
Il enlève son manteau et je ferme la porte. Je me retourne et le vois qui regarde ma photo de Jax, il la fait pencher de façon à se qu'elle se retrouve à plat sur le meuble. Je secoue la tête devant ce geste qui me semble relativement stupide. C'est pas comme si une photo pouvait porter un jugement sur ce qu'on peut faire dans mon appartement – ou n'importe où –. Il se tourne vers moi et me fait son sourire, auquel je réponds, comme toujours. Il a toujours ce sourire sur la tronche, parfois, ça m'énerve. Il lui donne un air qui donne envie de faire des trucs pas bien... pff. « J'aurais dû faire l'impasse sur la phase séchage de cheveux, je suis sûr que ça m'aurait permis de te surprendre et d'assister à un magnifique spectacle ... Mais la soirée ne fait que commencer ... » qu'il me dit avec un regard qui se voudrait charmeur. Je soupire en continuant de sourire. Je ne vois pas du tout de quoi il parle, non, du tout. Je suis innocente et même s'il était arrivé plus tôt, je lui aurais pas donné l'autorisation de venir dans ma chambre pendant que je me changeais. Il s'approche de moi, pose sa main sur ma hanche et me resserre un peu contre lui. Il penche la tête et frôle mon cou avec ses lèvres, un petit frisson me parcourant le cou tout entier. « So ... Missed me ? » qu'il me demande alors que je ferme les yeux. J'ai presque envie de ne pas répondre à cette question, parce que j'hésite entre le oui et le non. Une de mes mains s'accroche à son t-shirt alors que l'autre monte jusqu'à son cou. Je pose mes lèvres contre les siennes en me hissant sur la pointe des pieds. « Nan. » que je lui dis en attrapant une de ses mains en l'emmenant avec moi dans ma chambre. Je le fais s'asseoir et je me pose à califourchon sur lui, enroulant mes bras autour de son cou. Je le regarde dans les yeux, je souris toujours autant. L'idée de le faire chier me traverse longuement l'esprit pendant que je passe mes mains sous son t-shirt pour caresser son torse. Faut juste que je trouve une idée pour l'emmerder. « Si tu savais les vêtements que je porte dessous ma veste et mon shorty, Cade, tu ferais une crise cardiaque. » que je lui murmure à l'oreille après m'être penchée. J'l'embrasse dans le cou, remonte sur sa mâchoire et atteins ses lèvres. Je me remets en face lui, en le regardant dans les yeux. « T'auras le droit de vérifier par toi-même que si t'es sage... »
Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Lun 17 Jan - 15:08
A partir du moment où on s'engage dans quelque chose avec une femme, on se lance dans tout un tas d'événements et de réactions à la chaîne. Il n'y a rien de misogyne dans cette interprétation des choses, c'était juste la vérité, tout simplement. Les filles d'aujourd'hui étaient bien moins naïves que celles d'hier, mais certaines d'entre elles semblaient étrangement avoir conservé certains de ces rêves d'antan, et en étaient encore rendues à croire au prince charmant. Tout le monde savait qu'il avait foutu le camp avec une autre, ce cher Charmant, sauf elles. Parfois, Cade se disait qu'il était un peu dégueulasse vis à vis de ce genre de filles là que d'agir comme il avait l'habitude de le faire, mais il se ressaisissait très vite en se disant qu'après tout, il n'avait jamais rien fait miroiter à personne, et que donc, c'étaient elles qui se faisaient des films, et que lui n'avait rien à se reprocher parce qu'il ne cherchait jamais à les alimenter, ces rêves délirants. De toute façon, sérieux, il fallait qu'elles arrêtent d'être connes et de tomber toujours amoureuses de celui qu'il fallait pas. Cade refusait toute attache sentimentale qui ressemble de près ou de loin à de l'amour. Bien sûr, cela ne l'empêchait pas d'avoir des amis, filles comme garçons, et de conserver ces amitiés là sans aucun souci, malgré les tempêtes et orages qui éclataient parfois de ci de là. L'histoire avec Jax' en était la preuve vivante et parfaite. Même après s'être tapé sa sœur derrière son dos, Cade avait réussi à conserver son amitié avec le jeune homme, c'était quelque chose de phénoménale, nop ? Alors, oui, la chose qu'il avait trouvé à faire, c'était d'enchaîner les filles, et de ne pas s'attacher. Il était jeune, et profiter de la vie, c'était en gros son credo. Mais avec Olivia, c'était tellement autrement. Elle était chiante à le traiter de tous les noms dès qu'elle en venait à évoquer sa vie sentimentale, tout comme elle faisait parfois preuve d'une jalousie monstrueuse. Mais putain ce qu'elle restait sexy en toute occasion, même lorsqu'elle lui hurlait dessus et lui promettait de le tuer dans les pires conditions possibles. Yep, Olivia, souvent, on aurait dit qu'elle venait de péter une durite, mais il ne pouvait s'empêcher de la désirer, même quand elle faisait voler les assiettes, ou quand elle arrivait à lui faire péter un câble lui aussi, ou encore quand elle lui sortait qu'elle le détestait et qu'il était la pire des ordures.
Il ne doutait de rien, ou quasiment de rien, et la grande majorité du temps, il ne pouvait que constater que son attitude et ses décisions portaient leurs fruits. Il avait mis en place comme d'habitude un petit manège bien à lui, qui à mesure des mois, en venait carrément à devenir quelque chose de naturel chez lui et pour lui. Et Olivia avait succombé, du moins, elle était sur la voie. Il y a ce frisson qu'il voit la traverser, il y a cette main qui agrippe son t-shirt, cette autre main qui vient ceindre son cou, ces lèvres qui viennent s'accoler aux siennes, et il y a aussi ce simple petit mot qui le fait sourire et qui ajoute de l'éclat malicieux dans ses yeux. Bien sûr que non, il ne lui avait pas manqué, c'était logique, et elle avait une attitude en totale adéquation avec sa réponse. Shit, qu'est ce que ça devait être quand il lui avait manqué ! Elle l'entraine dans sa chambre, et il se dit que s'abstenir de tout commentaire, ça vaut mieux s'il veut aller avec elle jusqu'aux bouts de ses espérances de la soirée. Bon joueur, il la laisse légèrement le pousser sur le lit, signe d'elle à lui qui lui fait comprendre qu'elle veut qu'il s'assoit, et sans tarder, tout comme elle, elle ne tarde pas à se placer à califourchon sur lui, quand elle enroule dans le même temps ses bras autour de son cou. Cade plonge son regard dans celui de la donzelle à qui, quoi qu'elle dise, il semble réellement avoir manqué. Se mordillant légèrement la lèvre inférieure lorsqu'il sent ses mains quelque peu fiévreuse et toujours sensuelles se poser sur son torse nu, sous son t-shirt, il ne peut s'empêcher de la ramener encore plus vers lui, en usant de ses mains qu'il place un bref instant sur ses hanches, le temps pour lui d'exercer un mouvement d'attraction de leurs deux corps l'un contre l'autre. Il ferme un bref instant les yeux en la sentant se pencher vers lui, et en sentant surtout son souffle se heurter contre l'épiderme de son cou et contre son oreille. Putain, c'est juste excellent les moindres gestes avec elle ! Ouais, il doutait pas qu'il était tout à fait en mesure de frôler la crise cardiaque avec lui, et rien que l'idée d'imaginer ce qu'elle peut dissimuler sous ses fringues, cela fait pulser encore plus de sang dans tout son corps. Ses paupières s'ouvrent de nouveau brusquement lorsqu'il sent ses lèvres taquiner son cou, , puis sa mâchoire, et qu'elles viennent enfin s'emparer de ses lèvres. Olivia, c'était de la dynamite, et il la voulait déjà là maintenant et tout de suite. Cependant, il refusait d'oublier sa position se voulait dominante à chaque fois qu'ils s'envoyaient en l'air, même si dans les faits, elle était en mesure de pouvoir critiquer cette affirmation. Il lâche un petit gémissement rauque et réprobateur lorsque leurs lèvres se séparent, mais aussitôt, un sourire mutin se dessine sur ses lèvres. « Hmm, ça ne devrait pas être trop dur ça, je suis toujours sage, un vrai ange, le plus sexy des anges même ! » Ses lèvres viennent frôler son cou, lorsque la pointe de sa langue fait quelques incursions sur la peau de la jeune femme. « Qui mieux que moi t'emmène au Paradis ? » Discrètement, ses mains tentent de se glisser sous cette veste qu'elle a enfilé et qui est bien trop grande pour elle, quand il la distrait en continuant l'incursion de ses lèvres, qui s'attarde à présent près de l'une de ses omoplates.
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Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Jeu 20 Jan - 9:37
Je sais pas ce que ça fait d'être amoureux de quelqu'un. Je l'ai jamais été et je sais pas si je veux vraiment l'être d'ailleurs. De ce que j'ai vu sur les gens que je connais, c'est plus douloureux qu'autre chose. J'ai pas vraiment envie d'avoir mal pour un sentiment qui devrait normalement rendre heureux une personne. J'ai jamais vu une seule personne de mon entourage sortir indemne d'avoir aimé quelqu'un. Y en a toujours un des deux qui finit par faire une connerie, même sans le faire exprès. Puis, je sais pas, au bout de cinq ans, on doit plus avoir grand-chose à se dire. On doit déjà avoir tout testé et la routine doit déjà avoir pris le dessus. Je pourrais pas vivre dans la routine, ça me ferait chier et je me casserais bien vite. Je crois que c'est le pire truc qui peut arriver à un couple, faire tout le temps la même chose au même moment depuis des années voir des mois. Ça doit juste être affreux. M'enfin, je pense pas que ça va m'arriver de sitôt, parce que j'en ai pas vraiment envie. Je sais que parce que je suis peut-être un peu jalouse du fait que Cade se tape d'autres filles que moi et que ça peut faire penser que j'ai des sentiments pour lui, mais c'est définitivement pas ça. C'est juste que je suis possessive et j'aime pas qu'on touche à ce que je touche. J'aime pas penser au fait qu'une autre fille à pu toucher la peau de Cade, qu'une autre fille a pu l'embrasser. Penser qu'IL a touché une autre fille, ça m'insupporte. Ça me donne envie de le frapper, mais ça veut juste dire que même si je ressens pas réellement de sentiments pour lui, bah j'ai pas envie qu'il se casse d'un seul coup. Même si j'ai tout le temps envie de l'assommer parce qu'il trouve toujours le moyen de se faire pardonner sans même dire pardon, sexuellement parlant, il me manquerait comme pas possible. Même si je prétends le contraire et que je fais comme si de rien était. Et je sais qu'il le sait et que ça le fait vachement sourire. Intérieurement, je sais que même si je le fais chier pratiquement tout le temps, je sais qu'il aime ça et que ça lui fout encore plus de fierté dans son égo qu'il en a déjà. Lui, il s'en fout. Il se fout que je me tape d'autres mecs, il se fout de savoir que peut-être que la veille, dans ce lit, je me faisais le voisin. Il se fout de tout ça et ça m'énerve, parce que moi, je m'en fous pas. Ça me fait passer pour la chieuse de service, okay, j'en suis peut-être une, mais c'est pas une raison quand même, merde.
Il se laisse entrainer dans ma chambre sans aucune protestation, sans aucune résistance. Je ferme la porte derrière nous une fois qu'on est entré dans ma chambre et je le fais asseoir sur mon lit. Je me mets tout de suite à califourchon sur lui, on se regarde dans les yeux pendant une minute, je souris en passant mes mains sous son t-shirt, caressant son torse que je connais déjà par cœur à cause du nombre de fois que je l'ai vu/touché. Il me rapproche de lui en posant ses mains sur mes hanches, alors que je pose ses mes lèvres sur son cou, remontant lentement jusqu'à ses lèvres. Il lâche un son qui montre mécontentement quand je recule mon visage du sien, un sourire s'agrandissant ses lèvres au fur et à mesure de mes paroles. « Hmm, ça ne devrait pas être trop dur ça, je suis toujours sage, un vrai ange, le plus sexy des anges même ! » Et les chevilles, Cade, elles vont bien ? Il frôle mon cou avec ses lèvres, un frisson me parcoure l'échine, je sens sa langue sur ma peau et je ferme les yeux en souriant. J'ai même pas la force de lui répondre avec un sarcasme, je suis beaucoup trop absorbée par autre chose. « Qui mieux que moi t'emmène au Paradis ? » qu'il me demande en continuant son manège sur ma peau, se rapprochant de mon épaule. Quel petit vantard, je me vois bien entrain de le punir, mais... haha, pas discret. J'attrape ses mains qui tentaient de se faufiler sous ma veste, les retirant de là et les gardant dans mes mains. « Ça pourrait te vexer de savoir qu'il y a peut-être mieux que toi dans les alentours, alors je ne dirai pas de nom. » que je lui dis, mes lèvres contre son oreille en chuchotant. Je pose mes mains sur ses épaules, lâchant les siennes. Je remets mon visage face au sien, posant mes lèvres contre les siennes, le poussant de façon à ce que je ne sois pas assise sur lui, mais allongée au-dessus de lui. Je lui enlève son t-shirt et je sais qu'il va vouloir prendre le dessus d'un moment à l'autre, parce que Monsieur aime dominer la situation et tout avoir sous contrôle. Il ne supporte pas que quelqu'un le domine, tout du moins, de toutes les fois où j'ai tenté de le dominer, il a toujours repris le dessus à un moment ou à un autre.
Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Jeu 20 Jan - 16:18
Les temps avaient changé, et la société avait naturellement suivi, à moins qu'au final, ce soit elle qui est décidée de changer et les temps qui se soient trouvés obligés de suivre pour ne pas se trouver à la ramasse ... Ouais, tout dépend de la perception que l'on a des choses. Quoi qu'il en soit, et quelque soit la vérité, dans les faits, il était indéniable que les mœurs avaient évolué, métamorphosant à jamais le profil type de tout et de tous. Autrefois, il y a à peine une génération avant celle de Cade, les fratries comptaient au moins 3 membres en général et les parents commençaient à prendre cas des évolutions. Ils se réunissaient pour protester contre la guerre en s'enfilant des fleurs dans les cheveux et en refusant de se couper ces mêmes cheveux. Ils défilaient dans les rues pour protester contre leurs culs coincés de parents, en prônant des idées libérales perçues comme la fin du monde et la pire des Apocalypses par ces mecs si bien habillés et provenant des beaux quartiers, représentant une minorité de population mais à la tête de la majorité du pouvoir. Ils ne comprenaient pas que les esprits puissent se montrer désormais tellement libérés : c'était le temps du peace and love, des orgies et couples libres, et tout ce qui va avec cette vague de libération et de liberté. Aujourd'hui, les jeunes gens de l'âge de Cade, tout comme les plus jeunes et quelques tranches d'âge de plus âgés profitaient de toutes ces avancées obtenues autrefois, et avaient même été plus loin. Il en résultait donc que des personnes, telles Cade, menaient une vie débridée et adoraient courir plusieurs filles à la fois, avec un seul mot d'ordre : quand c'est non c'est non, et jamais pour du fric. Ouais, y a une limite tout de même, Cade n'était ni un violeur ni un type devant payer pour du sexe, il n'était pas désespéré voyons, loin de là même. Et si certaines filles le comprenaient sans rien dire, d'autres ne remettaient pas en cause tout le système mais ne se privaient pas pour piquer de façon régulière leur gueulante. Incontestablement, Olivia était de ces filles là, mais n'allez surtout pas vous le dire, la demoiselle avait un côté tigresse qu'il valait mieux ne pas chercher à rencontrer !
Il ne se souvient même plus trop comment cela à commencer. Tout ce qu'il sait, c'est que les sensations du premier jour, de la première fois, et bien elles sont toujours là, pas forcément les mêmes à l'identique, parce que ça s'est encore plus amélioré, mais elles restent tout de même là. Ouais, y a tout un tas d'autres facteurs qui se sont ajoutés, et c'est sûr que le fait de savoir qu'Olivia, elle fait partie de ces filles avec lesquelles il ne devrait pas coucher s'il était sérieux et raisonnable, ça décuple tout, en bien comme en mal d'ailleurs. Il sait toujours comment lui faire tourner la tête, ce qui ne signifie pas pour autant qu'il parvient sans cesse à lui faire oublier ce qu'elle lui reprochait même pas 10 secondes avant ou ce qu'elle était initialement venue lui dire. Disons qu'il se satisfaisait pleinement de ces performances, même s'il ne cracherait pas si des petits perfectionnements pour améliorer encore plus tout ça. Oui, un instant, il a réussi à la réduire au silence, et l'autre, elle a déjà repris quelque peu ses esprits et réplique. Il aurait bien aimé la défaire de cette veste, mais elle, elle en a visiblement décidé autrement, et c'est quelque peu frustrant, il ne s'en cachait pas. Surtout qu'elle approche ses lèvres de son oreille pour lui murmurer ces quelques mots qu'elle espère bien voir déclencher un retour de flammes des plus savoureux sans nul doute. Une chose est sûre, elle sait y faire, et en deux temps trois mouvements même pas, elle se retrouve allongée au dessus de lui, et lui se retrouve en plus torse nu. Il n'est pas envieux ni jaloux des autres qu'Olivia peut se taper, du moins, officiellement, ce n'est pas le cas. Mais comme tout homme, il n'apprécie pas particulièrement qu'on reprenne en question, ne serait ce que par des allusions, ses performances sexuelles et tutti quanti ... Glissant sa jambe autour de l'une des siennes, il n'a qu'à effectuer une rotation du bassin pour inverser les positions. Se saisissant de l'un des poignets de la jeune femme, il utilise son autre main pour replacer derrière l'oreille de la jeune femme l'une de ses mèches blondes. « C'est étrange, parce que j'ai la sensation que tu n'as pas à te plaindre de moi de ce côté là ... Après tout, encore une fois, tu me succombes ... » Il lâche son poignet pour repositionner sa main sous la veste de la jeune femme, traçant déjà du doigt, un peu à l'aveugle, des arabesques sur sa peau nue et sans un seul gramme de cellulite. « Tu as l'air pressé ce soir ... Tu as de la chance, je ne suis jamais contre de multiples rounds ! »
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Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Dim 23 Jan - 12:25
Je sais que c'est pas cool de se faire le meilleur ami de son frère, parce que Jaxhuem a déjà menacé Cade quand j'étais dans les alentours. Même quand il se faisait discret, j'entendais parfois des menaces dans le vide. Je vois pas tellement en quoi ça concerne Jax, parce que dans un sens, je fais ce que j'ai envie. Le fait que je me tape son meilleur pote ne le regarde pas, même si je trouve ça mignon qu'il se préoccupe de moi en tentant de me protéger des "méchants garçons". Enfin, maintenant, c'est quelque peu trop tard pour tenter de s'occuper de mes fréquentations. J'en ai toujours plus au moins fait qu'à ma tête à partir du moment où il m'a dit que si notre mère était avec mon père, c'était juste pour remplacer son père, à lui. Ça m'avait foutu en rogne qu'il me sorte ça comme ça et c'est à partir de ce moment-là que j'ai décidé de prendre plus de libertés. J'en prenais pas trop non plus, parce que si je me faisais prendre par mes parents, j'étais définitivement morte ou peut-être même bannie de la maison. Aujourd'hui, je m'en fous, parce qu'ils ne sont pas du tout dans le coin et je peux faire ce que je veux, parce que la plupart du temps, Jax a d'autres chats à fouetter. La première fois que j'ai baisé avec Cade, c'était plus sur un coup de tête qu'autre chose, aussi parce que je le trouvais vachement canon et que je savais que c'était réciproque. J'ai pas longtemps hésité quand il m'a fait des avances, genre, pas plus de cinq minutes. Puis on a recommencé, sans s'arrêter. On aurait peut-être dû, mais je crois que c'est trop tard aujourd'hui pour penser à ça. On peut pas arrêter de baiser ensemble du jour au lendemain. Je pourrais pas tenir, personnellement. Mon corps m'obligerait à retourner vers lui. C'est peut-être con, mais c'est comme ça. Il a beau se taper toutes les filles qu'il croise et qui veulent bien de lui, je sais que ça lui ferait un petit manque si je décidais d'arrêter d'aller vers lui. Quoiqu'il en soit, je sais pas pourquoi, mais ce soir, j'ai envie de l'emmerder - façon de parler, parce que vu comment on est parti, je vais pas le faire chier bien longtemps -. Je vais le faire mariner avant d'enlever ma veste ou mon shorty. Oh que oui. J'ai peut-être envie de lui, c'est pas ça qui va m'empêcher de le faire attendre. Je vais m'amuser à lui faire des trucs avant de le laisser me faire quoique ce soit, juste pour le rendre fou et non pas le contraire, comme il fait à chaque fois pour que je lui cède plus vite.
Je m'allonge sur lui et lui enlève rapidement son t-shirt sans qu'il ait le temps de réellement dire quoique ce soit, ou même de protester. Enfin, je suis sûre qu'il n'aurait pas réellement protester. Ou peut-être à mes paroles, parce que je suppose que ça va le vexer un peu, mais tant pis. Parce que oui, quand je parle de quelqu'un d'autre, je parle de mon voisin, mais ça, Cade n'est pas censé le savoir. Quoique, je me fous qu'il sache, il se tape bien des filles alors que je suis parfaitement au courant. Je dois avouer que parfois, je préfèrerais ne pas être au courant, parce que ça m'énerve, mais bon, c'est pas le sujet. Je me trouve en-dessous de Cade en deux temps, trois mouvements. Il attrape un de mes poignets avec un de ses mains, alors que j'allais tenter de m'en servir pour revenir à la position précédente. Avec l'aide de son autre main, il replace une des mes mèches derrière mon oreille, alors que ma respiration a subitement accéléré face à ce changement de situation foutrement rapide. « C'est étrange, parce que j'ai la sensation que tu n'as pas à te plaindre de moi de ce côté là ... Après tout, encore une fois, tu me succombes ... » qu'il me sort en lâchant mon poignet pour remettre sa main sous ma veste et faire des dessins qui ne ressemblent surement à rien avec ses doigts. Ce qu'il me dit me fait sourire, mais je n'ai pas succombé. Je veux dire, je lui ai juste sauté dessus dés qu'il est rentré, mais je n'ai pas succombé puisque c'est moi qui suis allée vers lui. « J'ai jamais dit que j'avais de quoi me plaindre, je dis juste que tu n'es peut-être pas le meilleur, comme tu peux le prétendre... puis, je n'ai pas succombé, qui a dit que tu m'aurais si facilement, Cade ? » que je lui dis avec un brin de provocation de la voix. Oh oui, son égo va surement en prendre un coup, mais il ne peut même pas imaginer à quel point je m'en fous. Dans le fond, je dis franchement ça juste pour l'énerver. Et je ne sais pas si ça va marcher, mais dans tous les cas, je sais comment apaiser sa colère. « Tu as l'air pressé ce soir ... Tu as de la chance, je ne suis jamais contre de multiples rounds ! » qu'il me dit en continuant son petit jeu sur mon ventre. Je suis pas coincée, je suis sûre que je peux réussir à le faire bouger. Il faut juste que je trouve un moyen et ça, c'est surement plus compliqué. Je le regarde dans les yeux et je passe une de mes mains dans ses cheveux de façon à attirer son visage vers le mien et l'embrasser. Mon autre main se pose sur son torse, descendant lentement plus bas. Je défais la braguette de son pantalon et ma main se faufile sous son caleçon, alors je souris en le regardant dans les yeux. Son air se modifiant au fur et à mesure des vas-et-viens de ma main autour de l'endroit le plus sensible de son corps...
Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Lun 24 Jan - 16:47
Vivre en prenant des risques, c'est euphorisant, il n'y a pas à dire, tout comme vivre sur la corde raide en étant en perpétuel mouvement, ça vous envoie des décharges d'adrénaline dans tout le corps. Tout le monde rêve au moins un jour de mener une vie où il n'y aurait plus toutes ces attaches si pesantes, toutes ces choses que l'on se traîne à la patte telle un boulet de prisonnier attaché à notre cheville. Voler de ses propres ailes, mener la vie que l'on entend comme on l'entend, vivre de sexe et d'alcool et rien que de ça, avouez le, c'est un rêve plus ou moins commun à tous les êtres humains normalement constitués. On cherche à se libérer de toutes ces règles de cette société ultra répressive, on veut quitter tous ces carcans, on veut tenter des choses jusqu'alors perçues seulement comme rêvées et fantasmées, des choses qu'on a toujours espéré pouvoir réaliser un jour. C'est le rêve de la liberté, de l'émancipation totale, quelque chose que, dans le fond, on sait bien sûr qu'on ne pourra jamais totalement avoir, parce que malgré tout, on appartient à cet ensemble appelé l'humanité, et que donc, notre liberté s'arrête là où commence celle des autres. De fait, on doit se soucier de tous ces autres qu'on aimerait souvent voir plus souvent, justement, graviter autour de nous et non plus nous foncer dessus telles des météorites coupant notre orbite. Mais tant qu'on arrive à se persuader qu'on est le plus souvent libre de mener notre vie comme on le souhaite, les apparences et croyances sont sauves, et c'est donc le plus important. Il était certain que pour Cade, c'était plus facile que pour d'autres. Après tout, ses parents étaient morts, il se gérait seul depuis sa majorité et même avant, puisqu'il avait réussi à s'émanciper un peu après ses 17 ans, et il n'avait pas de petites sœurs ou de petits frères sur qui veiller. Ses sœurs se géraient seules désormais, et étant responsables et mâtures, du moins, tout autant que lui, il ne s'en faisait pas pour elles. Elles avaient leur caractère et ne se laisseraient donc ni marcher sur les pieds ni importuner par des crétins écervelés. Et ayant développé la politique du célibat extrême, il était libre de fréquenter une fille différente s'il le voulait, et ce chaque soir. Bien sûr, certains diraient qu'il prenait des risques, qu'il y avait bien forcément des fois où il ne se montrait pas assez prudent, lassé par toutes ces nuits enchaînées les unes après les autres, qu'il risquait de se choper un truc, ou même pire, de se retrouver avec un gosse dans les bras. Lui leur répondait juste et simplement d'aller se faire voir et de se mêler de leur vie, vie qui devait bien être plate pour qu'ils en viennent à loucher sur la sienne avec envie et rancœur de ne pas vivre une telle existence.
Olivia, elle, on aurait simplement dit qu'elle voulait à tout prix relever tous les défis qu'il pouvait bien involontairement ou pas mettre sur sa route, comme si elle s'était fixée une mission et voulait bien évidemment l'achever, têtue et bornée comme elle était. Oui, une vraie petite démone, mais très sexy et attirante. Un peu comme une sirène qui vous ensorcelle, sauf que là, pour les cordages vous attachant au mât du bateau, tel Ulysse, vous pouviez toujours aller vous brosser. Elle était pire que toutes ces armes de destructions massives connues. C'était pire, parce qu'elle avait des traits humains, et des attitudes emplies des péchés capitaux. Comment Jax' voulait-il que Cade accepte de se défaire d'une telle emprise ? Certes, il était à coup sûr moins attaché que les autres qu'elle devait courtiser, et moins attaché qu'elle, elle ne le désirait, mais il n'en demeurait pas moins qu'il existait toujours ce lien étrange entre eux, ce lien dont il ne voulait pas encore réellement se défaire. En tentant de relever ses défis, elle lui en imposait elle même, et il n'avait absolument rien contre le fait de les relever, un à un. Parfois, il n'avait plus à la suivre et elle se bornait à continuer à avancer dans cette voie dont lui ne voyait pas trop le bout. Il l'y suivait, un peu beaucoup parce qu'il refusait qu'elle lui joue un sale tour à ses dépends, et aussi parce que c'était toujours nirvanesque de la suivre dans ce genre de plans là quand on savait qu'elle adorait s'envoyer en l'air avec lui, même lorsqu'elle se disait furax contre lui. Il ne lui avait jamais promis monts et merveilles, pas plus à elle qu'à une autre, et pourtant, parfois, il avait la sensation qu'elle laissait poindre une once de jalousie et qu'elle cherchait à le piquer au vif en s'attaquant à son égo et à sa fierté masculine, comme pour le faire réagir et obtenir de lui des aveux de quelque sorte que ce soit, sur quoi que ce soit. Tant que c'était de l'inédit pour elle, elle semblait bien qu'elle était loin d'y voir le moindre inconvénient. Sauf que ses "méthodes de guerre" laissaient parfois à désirer tant elles semblaient faciles et basses. S'attaquer à l'égo sexuel d'un homme, il n'y avait rien de plus aisé et facile, vraiment ... Il ne cherchait pas particulièrement à être son meilleur coup, mais disons qu'il n'aurait rien contre le fait que ce soit vrai. Et il appréciait avec limite l'évocation de ces autres avec lesquels elle avait des rapports sexuels, pour rester sobre. Sa main stoppa ses arabesques lorsqu'elle lui lâcha cette nouvelle petite provocation à peine dissimulée. Elle ne lui écrasa pas les poignets, ne se décida pas non plus à lui tirer les cheveux pour l'obliger à pencher la tête et le regarder droit dans les yeux après l'avoir immobilisée, mais il était vrai que son regard prit cette lueur quelque peu dangereuse et menaçante. « Je t'en prie Chérie, tu veux réellement jouer à ce jeu là ? Je connais des tas de tours pour te f ... » Elle ne lui laisse pas le temps de finir, visiblement décider à le faire taire. Il a à peine réaliser qu'elle venait de glisser ses doigts dans ses cheveux que leurs bouches se joignirent et que leurs langues se mêlèrent dans un ballet des plus fiévreux et sensuels. Il frémit dans le même temps en sentant l'autre main de Liv' descendre le long de son torse nu, puis se saisir de cette fermeture éclair qui ne semble pas lui mointrer la moindre résistance. Les fabricants devraient repenser tout ça, ou alors, elle, elle est juste passée pro' en ce qui concerne l'effeuillage des hommes ! Préméditant ce qu'elle a en tête, il n'a cependant pas le temps de la stopper dans ses plans, et à peine détache-t-il leurs lèvres et plonge-t-il son regard dans le sien qu'elle est déjà passée à une nouvelle phase de son plan diabolique. Elle a ce sourire de la fille sûre d'elle même et de ses talents, et il n'est sûrement pas celui qui viendrait lui dire qu'elle se vante et se surestime, loin de là. Tenter de se concentrer sur autre chose qu'elle et ce qu'elle est en train de faire, ou comment tenter de mener une mission impossible. Honnêtement, Olivia, ses gestes si précis et ses talents immodérés, c'est pile le genre d'incendie impossible à à éteindre. Il tente de respirer du mieux possible, mais son cœur, ce traitre, a décidé de s'emballer en réponse à cette demande sanguine d'une certaine partie anatomique de son cœur, et qui dit rythme cardiaque en augmentation dit apport nécessaire en plus d'oxygène qu'à l'accoutumée, et il n'y a pas 36 façons de palier à cette demande voyez vous ! Fermant les yeux, puis se mordant les lèvres pour éviter tout son parasite franchir ses lèvres, risquant de le trahir, il ne peut empêcher ses yeux de commencer à rouler derrière ses paupières. Malheureusement et heureusement pour lui, Olivia sait ce qu'elle fait. La seule solution qu'il trouve sur le moment, c'est de nicher ses lèvres dans le cou de la jeune femme, et d'y déposer une nuée de baisers fiévreux, alors que sa langue et ses dents sont quelque peu elles aussi de la partie. L'une de ses mains vient s'enrouler autour des hanches de la jeune femme, la collant à lui, alors que l'autre de ses mains tente du mieux possible de jouer les exploratrices, avant de tenter du mieux possible d'effeuiller la jeune femme. « Oh, God ... »
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Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Mer 26 Jan - 11:51
Je me suis jamais réellement disputée avec Cade, genre jamais, enfin je crois. Peut-être la fois où il a capté que j'avais tout dit à Jaxhuem et que Jax lui avait foutu un poing. Mais je crois que c'est la seule fois. Je sais même pas pourquoi j'en avais parlé à Jax, surement une pulsion suicidaire qui m'a envahi le cerveau d'un seul coup. J'avais bu, je crois, quand je lui ai dit, parce que je m'en souviens pas réellement. Mais je sais qu'après, Cade m'avait engueulé grave, parce que ça l'avait fait chier. Je crois que c'est la seule fois où on s'est vraiment gueulé dessus et engueulé. Sachant qu'aujourd'hui, quand on se dispute, c'est pas vraiment comme ça qu'on doit appeler le truc. C'est juste moi qui m'énerve et lui, qui me « manipule » mentalement pour qu'on termine par baiser ensemble. Je dois avouer que la réconciliation est très bonne à chaque fois. Ça doit même être la meilleure chose qui peut se passer quand je lui crie dessus. La plupart du temps, quand je gueule, il me fait taire en m'embrassant et je me laisse faire, parce que Seigneur, c'est beaucoup trop tentant. Je sais pas comment il fait, comment il arrive à m'arrêter, mais il le fait et j'argumente même pas un mot de plus. Je le laisse m'entrainer dans sa chambre ou la mienne, ou mieux encore, c'est moi qui l'entraine. Je crois que le jour où j'arriverais à me passer de la fin d'une dispute, je pense que ça voudra dire que j'ai un problème. Je sais pas tellement ce que je dois penser de Cade, dans le sens où, il baise tout le temps n'importe qui. La première pute qu'il croise, il se la fait. Je peux pas non plus dire que je baise que lui, parce que c'est pas le cas. Juste que moi, je ne suis pas une salope, contrairement à lui qui en est une au masculin. Je sais lui, ça l'amuse, mais moi, ça m'amuse pas tellement, parce que je suis irrévocablement et indéniablement jalouse, alors que j'ai pas à l'être, puisque je peux me le faire quand je veux, où je veux et autant de fois que je le veux. Et s'il est pas d'accord, chose très rare, je trouve un moyen de le convaincre et je sais faire ça d'une façon magistrale.
« Je t'en prie Chérie, tu veux réellement jouer à ce jeu là ? Je connais des tas de tours pour te f ... » qu'il commence à dire avant que je le coupe d'une façon plus ou moins joueuse. Ça pourrait être considérer comme de la triche, mais il fait ça tout le temps, lui. M'embrasser pour me faire arrêter de parler. Je lui renvoie juste la pareille. Avant même qu'il ait le temps de faire quoique ce soit, je lui défais la braguette de son pantalon et passe ma main dans son caleçon. Il me regarde dans les yeux alors que le sourire que j'ai sur le visage est un sourire plus que satisfait. Je vois qu'il a du mal à rester calme, ses yeux partant en arrière, je lève un sourcil, un air espiègle sur le visage. A croire que moi aussi, Cade, je peux avoir le dessus sur toi. « Tu disais ? » que je lui demande avec un énorme sourire sur la face. Il ferme les yeux, se mord les lèvres avec un air que je peux avoir quand il me caresse. Il fourre sa tête dans mon cou, pose ses lèvres, ses dents et sa langue dessus, plusieurs fois, me donnant des frissons qui me parcourent le dos. Je reprends mes esprits, sentant son bras qui me serre un peu plus contre lui. Son autre main qui cherche à me faire de l'effet. « Oh, God ... » qu'il laisse échapper, alors que j'attrape sa main et sachant parfaitement qu'il n'est pas en possession totale de ses moyens, je me remets au-dessus, retirant ma main de son caleçon. Je place mes jambes de façon à ce qu'elle se retrouve serrée contre le corps de Cade, de chacun des côtés de son corps. Je baisse ma tête pour l'embrasser dans le cou, descendant sur son torse, une de mes mains me sert à garder l'équilibre sur le matelas et l'autre le maintient allongé en étant sur son torse. « Tu sais, je t'autorise à tout simplement m'appeler Olivia. » Je me redresse et termine ce que j'avais commencé, autrement dit : je lui enlève définitivement son jean. Je pose mes fesses juste au-dessus de son coin sensible en défaisant lentement la fermeture éclair de ma veste, la lançant au sol quand j'ai terminé. Je pose mes mains sur ses épaules et l'attire contre moi, il se retrouve donc assis et je déplace mes jambes pour qu'elles se retrouvent autour de son corps et mes bras autour de son cou. Mon visage très proche du sien, ma poitrine collée contre son torse et le reste de mon corps très serré contre le reste du sien.
Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Jeu 27 Jan - 17:01
Il y avait une chose de certaine, d'assurée. Si jamais un jour, Cade venait à comprendre que, ça y était, Olivia attendait plus d'eux que de toutes ces parties de jambes en l'air torride, si le jeune homme venait un jour à lire dans les yeux de la jeune femme quoi que ce soit qui puisse un temps soit peu l'orienté vers un tel raisonnement, il lâcherait l'affaire. En gros, il mettrait un terme à tout ça, une note finale à cette partition plus qu'endiablée, parce qu'autant il adorait baiser avec elle, autant il se refusait à la détruire et à la faire souffrir. Il refusait de se mettre en couple avec qui que ce soit pour ne justement jamais se trouver dans la peau du sale type qui en est arrivé au point où il détruit ceux qui comptent pour lui, ceux qui ont eu la naïveté de croire qu'il prendrait soin de leurs cœurs, de leurs cœurs qu'ils avaient placé entre ses mains maladroites à lui. Il savait qu'il tirait sans nul doute des plans sur la comète dans son délire de psychosé, dans son délire de mec cherchant à tout prix à se taper le rôle du martyr, réaction et recherche le plus souvent inconscientes. Il savait qu'Olivia était loin d'être le genre de fille à s'amouracher et à chercher à vivre un amour rose acidulé et écœurant à souhait, mais il savait aussi qu'elle était une jeune femme comme les autres, et qu'au fond d'elle, sans nul doute, elle aspirait, un jour, à trouver le bonheur, et cela passait sûrement par la présence d'un homme, d'un petit ami, d'un fiancé ou bien encore d'un mari à ses côtés. Certes, ce n'était certainement pas pour tout de suite, mais on ne sait jamais, les choses arrivent parfois bien vite ... Il gardait cette idée là à l'esprit, mais la mettait en sourdine la plupart du temps, et largement même. Les gens se disaient qu'il fonçait se taper du bon temps sans jamais réfléchir aux potentielles conséquences d'une telle attitude vis à vis des filles, mais ils avaient tord, souvent. Il se protégeait, s'assurait que la fille ne se faisait pas de faux espoir, certes, mais rien n'était sûr à 100%, jamais. Alors il tenait à veiller, discrètement, et sans se faire repérer. Vous comprenez, qu'en serait-il de sa fierté masculine si on découvrait le pot aux roses ?
Mais voilà, avec Olivia, il y avait certaines choses qu'il ne parvenait pas à dissimuler, et ce même s'il y mettait toute sa volonté et qu'il pestait dès qu'elle profitait d'une telle incapacité pour jubiler et se gargariser de ses exploits. Ce qu'il était en train de lui dire ? Rien du tout, ou alors, il ne s'en souvenait plus, ou bien encore, il préférait ne pas répondre afin d'éviter toute éventuelle demande de reconnaissance de soumission, demande qui émanerait naturellement d'Olivia elle même, pas de lui, ça tombait sous le sens voyons. Il commençait à plonger tête la première dans cette ambiance nirvanesque qui commençait peu à peu à se saisir de lui, et qui, pendant encore quelques secondes, anesthésiait totalement toute éventuelle réaction de sa part, et ça, Olivia le savait, pour avoir expérimenter plus d'une fois l'exercice. Et de la sorte, elle en profita, une fois de plus, pour inverser les positions. Cependant, il ne peux pas s'empêcher d'émettre une plainte de protestation quand à cette main qu'elle vient de retirer de cet endroit si sensible de son anatomie masculine. Après tout, elle était très bien là où elle était cette main, non ? Il sent rapidement ses jambes se coller de part et d'autre de son corps, alors que ses lèvres ne tardent pas à faire un plongeon vers l'épiderme de son cou, puis sur celle de son torse, alors que ses mains prennent des places qui lui assurent, pendant encore quelques secondes, et s'il accepte de ne pas réagir, le maintien de sa domination sur lui. Elle ose s'aventurer sur le terrain de la provocation, et va même plus loin en utilisant une petite provocation qu'il a personnellement déjà maintes et maintes fois utilisée. « Voilà que tu commences à me citer ! Je devrais en être fier ?! » Il esquisse un sourire mutin, alors que ses yeux, eux, sont rivés sur l'occupation de ses mains. En deux temps trois mouvements, elle le débarrasse de son Jeans, et pour être honnête, il s'en sent soulagé, parce qu'il commençait à se sentir vraiment serré. Mais là, carrément, elle entame la torture, et Gosh, l'a-t-il déjà vu ainsi ou est-ce simplement que ce soir, elle a décidé de sortir tout son grand jeu ? Posant ses mains sur les hanches d'Olivia, il l'observe, telle une stripteaseuse des plus sensuelles, se défaire de son gilet. Il espère seulement qu'il a la présence d'esprit de garder la bouche fermée, histoire de ne pas passer pour le frère jumeau du loup de Tex Avery, parce que là, il a pleine vue sur ce soutien gorge et que ça vaut vraiment plus que le coup d'œil ! Elle aurait pu se charger uniquement de le dominer en empêchant toute interaction, mais elle tient visiblement à le faire participer. C'est ainsi qu'elle l'attire contre elle, que leurs corps sont au touche-touche, et que leurs lèvres se frôlent dans un balai magnétique des plus aériens et sensuels. Passer du bon temps et s'envoyer intensément en l'air n'empêche en rien quelques gestes emprunts d'une douceur et d'une certaine affection, si ? Ainsi, ses doigts, posés derrière sa nuque, viennent effectuer contre sa peau de petits ronds et certaines arabesques, alors qu'il plonge son regard dans le sien. « T'es une putain de déesse ... Mais j'imagine que je dois avoir un statut particulier, pour que tu puisses m'accorder autant de ton temps. T'as quoi, une liste de prétendants voulant te faire la cour longue comme le bras, nan ? » Il l'embrasse, encore et encore, à la fin de chaque phrase, plus que chastement, mais sans non plus la dévorer entière. Glissant progressivement ses lèvres vers sa mâchoire, son cou, puis ses épaules, il redresse finalement la tête pour une nouvelle fois entremêlé leurs regards. « Qu'ils aillent se faire voir, ce soir, tu es avec moi ! » Un sourire assez carnassier se dessine sur ses lèvres, alors qu'il replonge vers les épaules désormais dénudées de la jeune femme, et que l'une de ses mains a quitté son cou pour se glisser derrière son dos, jouant du piano le long de la peau d'Olivia, et comme cherchant à faire disparaitre ce soutien gorge qui va vite se trouver gênant. Il ne stoppe pas le périple de sa main en si bon chemin, et bientôt, visage fourré dans son cou, il ne peut s'empêcher d'émettre un grognement de réprobation quand sa main rencontre autre chose que la peau d'Olivia. « T'as trop de vêtements ... » La main qui s'était attardée jusqu'alors sur son cou vient se saisir des hanches de la jeune femme, pour la soulever, alors que l'autre en profite pour ôter ce mini short qu'il ne pouvait plus voir. Un sourire ravi s'étend alors sur son visage. « Magnifique ... »
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Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Lun 31 Jan - 17:17
Je comprends pas tellement le délire de Cade qui est de se taper le plus de filles, jute parce qu'il profite soi-disant de sa jeunesse et tout le baratin habituel d'un con. Je comprends pas l'intérêt de se taper quelqu'un de différent tous les soirs. Peut-être que j'ai tout simplement pas envie de comprendre, ou que dans le fond, le pourquoi du comment m'intéresse pas. Si ça l'amuse, tant mieux pour lui. Ça m'a jamais tenté de me faire taper la Terre entière comme il peut le faire. Et les trois quarts du temps, quand je le fais, c'est surtout pour lui faire comprendre que moi aussi, je peux en faire autant. C'est clair que je pourrais me faire tous les mecs qui passent devant ma gueule, juste parce que "je veux profiter de la jeunesse", mais venant d'une fille, ça fait salope. Alors que pour un mec, ça lui donne une image du mec irrésistible. C'est définitivement injuste, mais bon. C'est pas comme si je pouvais faire grand-chose contre ce système de merde qu'est la mentalité de la grande majorité des gens. Quoi qu'il en soit. Le sujet du moment est le fait que Cade est là et que j'ai même pas tenter de lui dire non, préférant l'entraîner tout de suite dans ma chambre, pour faire quelque chose de bien plus intéressant que de penser au fait qu'il se tape toutes les filles qu'il voit. La tentation de poser mes mains sur lui, la tentation de plaquer mes lèvres contre les siennes... ces tentations-là sont trop fortes pour que je puisse tenter de faire quoique ce soit contre elles. Je sais pas comment il fait ça, mais bordel, il arrive vachement bien à me donner envie de lui, même quand il fait rien. C'est tellement pas juste. J'aimerais bien qu'à chaque fois que je vois sa gueule, je n'ai aucune idée malsaine dans la tête. J'apprécierais sincèrement de ne pas avoir envie de lui à chaque fois que je pose mes yeux sur lui. C'est pour ça que j'évite de le voir quand je sais qu'il est avec Jaxhuem. J'évite parce que je sais que l'envie de le toucher est beaucoup trop forte pour que je puisse y résister. C'est tellement énervant d'être aussi faible devant une personne. De pas pouvoir résister pendant plus de cinq minutes à ses avances, juste parce que bordel, c'est juste trop tentant.
« Voilà que tu commences à me citer ! Je devrais en être fier ?! » qu'il me dit avec un sourire gamin sur le visage, mais son regard déménage vite sur mes mains qui sont entrain de lui enlever son jean. Est-ce qu'il devrait en être fier ? Bah je sais pas. S'il veut, il peut. Il n'empêche que je souris à sa remarque, sans pour autant y répondre. En un rien de temps, je me remets au-dessus de lui, défaisant lentement ma veste, alors que ses mains se posent sur mes hanches. Un frisson me traverse doucement le dos. Il fixe mes doigts qui défont le tissus qui m'encombre plus qu'autre chose. Ma respiration s'accélère de plus en plus quand je le fais se redresser que je colle son torse contre ma poitrine. Ses lèvres frôlent les miennes et je ferme les yeux pendant une seconde. Sa main dans mon cou descend et fait des dessins qui n'ont surement pas beaucoup de sens, mais ça me fait sentir un putain de frisson qui me traverse tout le corps. Son regard se pose dans le mien et je me sens totalement défaillir. « T'es une putain de déesse ... Mais j'imagine que je dois avoir un statut particulier, pour que tu puisses m'accorder autant de ton temps. T'as quoi, une liste de prétendants voulant te faire la cour longue comme le bras, nan ? » qu'il me dit en m'embrassant plusieurs fois entre ses phrases. Ses lèvres descendent sur ma mâchoire, mon cou, alors que je penche la tête en fermant les yeux. Bordel, c'est injuste ce qu'il fait, même si c'est moi qui ai commencé. J'arrive même pas à articuler une phrase, tellement je suis déconcentrée. Ses lèvres descendent jusqu'à mon épaule pour finit par revenir vers moi, remettant son regard dans le mien, alors que mon envie de lui commence à prendre le dessus sur chacune de mes pensées. « Qu'ils aillent se faire voir, ce soir, tu es avec moi ! » qu'il termine, avec un sourire qui me donne encore plus d'idées malsaines, alors que j'arque un sourcil. L'air interrogatif que j'ai sur le visage ne reste pas bien longtemps, puisqu'il enfonce sa tête dans mon cou, ses mains jouant sur mon dos, alors que mon soutient-gorge dit au revoir avant d'atterrir sur le sol, balancé par Cade. Ma respiration et les battements de mon cœur sont plus qu'incontrôlable. Bordel, il peut même pas imaginer à quel point j'ai envie de lui, là, maintenant, tout de suite. Mais je vais pas le dire à voix haute, il serait beaucoup trop content de lui. Il grogne, la tête toujours dans mon cou, je lève un sourcil. « T'as trop de vêtements ... » qu'il me dit tout naturellement. Trop de vêtements... bah, je peux te dire que si je sortais comme ça dehors, tu dirais pas que j'ai trop de vêtements. Quoique pour ce qui se passe en ce moment, c'est vrai que j'en ai trop. Il me soulève avec l'aide de la main qui était précédemment placée dans mon cou, puis avec son autre main pour m'enlever définitivement mon shorty, dévoilant ma culotte. « Magnifique ... » qu'il me dit en ayant un grand sourire sur la tronche. Visiblement, j'ai bien choisi. Je pose mes lèvres sur les siennes en prenant son visage entre mes mains, laissant l'une d'elle descendre le long de son torse, pour finir par se poser derrière son cou. « Merci... Dis, monsieur le pompier, je crois que t'as un feu à éteindre... » que je lui dis avec un sourire plein de sous-entendus. Je prends un air innocent, alors que je me soulève de façon à ce que mes mains lui enlèvent son caleçon. Je lui lance un regard qui veut dire quelque chose comme, à toi de jouer maintenant.
Sujet: Re: CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch. Mer 2 Fév - 19:04
Les filles qui vous ouvrent leurs cuisses dès que vous leur prêtez un seul petit semblant d'attention, c'était assez débectant. Oui, Cade ne concevait pas forcément les relations sexuelles comme certains autres jeunes gens de son âge, mais cela ne l'empêchait nullement pas d'avoir ne seraient ce que quelques valeurs. Et une fille se doit de se respecter. Sans un respect de soit même, où va le monde, on vous le demande ? Pourquoi s'aventurer à s'envoyer en l'air avec une fille qui ne semblait pas farouche et surtout pas lente à se laisser faire sans rien dire. Qui est passé par le même chemin avant ? Ouais, ça et des tas d'autres questions, elles vous viennent en tête dès que vous prenez un seul instant pour réfléchir. Les filles qui craquent après quelques assauts, c'est déjà bien mieux, parce qu'au moins, elles savent repousser ceux qui ne leur conviennent pas et refusent d'entrer dans leur jeu, alors que le précédent type de filles ne fait sûrement pas la fine mouche et ne s'embarrasse pas d'un seul instant de réflexion, aussi infime soit cette réflexion. Cade aimait qu'on lui oppose quelque résistance, c'était dans sa nature. Tous les garçons ont leur petit faible pour lequel ils craquent et succombent, un petit faible qui, s'il est absent de l'équation, amène direct à la case "fin de jeu, on range les pions et on oublie tout". Cade, lui, il aimait qu'une fille fasse quelque peu l'effarouchée, mais pas trop non plus, après, ça tombait rapidement dans la mièvrerie à outrance. Il aimait lorsqu'une fille lui faisait clairement comprendre qu'elles en avaient éconduit de nombreux hommes depuis le début de la soirée. Sa petite satisfaction personnelle, c'était de leur lancer un regard satisfait à tous lorsqu'il quittait les lieux avec cette chère demoiselle au bras : et oui les mecs, il va tous bien niquer votre égo là, en plus de la fille qui vous faisait bander depuis le début de la soirée ! Et puis il y avait le cran au dessus, et c'était dans cette catégorie qu'entrait Olivia, quoi qu'elle était bien hors normes pour de nombreuses choses, ce qui ne simplifiait évidemment rien du tout, amenait des tas de merdes, et créait des tas de situations tellement fantasmantes que seuls les plus asexuels resteraient de marbre à cette simple évocation d'une opportunité comme celle là !
Il lui semblait parfois connaître le corps d'Olivia jusqu'à la moindre petite parcelle de peau, et de ce fait, il savait quoi faire pour la faire succomber. Il savait où glisser ses doigts, où apposer ses lèvres, ou bien encore où laisser trainer son souffle se voulant saccadé à mesure de l'avancée de leur petite affaire. Enfin, pas si petite que ça l'affaire, puisque tous les deux semblaient toujours en ressortir encore plus satisfaits que les autres fois, au point de ne jamais dire non lorsqu'il s'agissait de rempiler et de remettre le couvert ! Mais Olivia, c'était aussi tout un mystère à part entière, et parfois, le jeune homme avait la sensation qu'elle faisait tout pour le faire virer dingue. C'était une folie dure et puissante, de laquelle on ne ressortait pas indemne, tout motivé et décidé à ne pas succomber et péter un câble qu'on pouvait être. Elle avait ce quelque chose de si particulier en elle qui lui rendait impossible toute fureur excessive à son encontre passé un certain laps de temps. Encore une fois, il constatait qu'il était loin d'avoir perdu la main et que la jeune femme était loin de rester de marbre. Il n'était pas du genre à se vanter de ses conquêtes sur la place publique, ni même le genre à commenter en détails toutes les performances sexuelles auxquelles il se livrait, donc les fesses d'Olivia étaient couvertes de ce côté là, surtout que si un jour il décidait d'en parler, ce serait avec les 3 autres crétins, et dans le lot, il y avait juste un peu beaucoup Jax'. Vous comprendrez donc aisément que ce divin jour n'était pas prêt d'arriver et que la jeune femme avait donc la paix de ce côté là pour encore longtemps. Dans le sens inverse, il ne voyait vraiment aucune réticence à ce qu'elle parle de lui à ses amies, au contraire, si ça pouvait lui ouvrir des portes, et pas que des portes ... Toute excellente publicité était bonne à prendre, surtout lorsqu'elle était gratuite de surcroit ! Mais voyez vous, avec Olivia, vous pouviez être certains d'une chose : jamais elle ne resterait aussi inerte qu'une poupée gonflable allongée sur un lit, justement parce qu'elle n'avait rien d'une poupée gonflable. Elle détestait s'avouer facilement vaincue et n'acceptait pas le fait de ne jamais mener la danse à un moment ou à un autre. Il fallait qu'elle agisse, qu'elle fasse quelque chose, tout simplement quelque chose. Et cela ne loupa pas. Il sentit l'une des mains de la jeune femme descendre le long de son torse nu aux muscles bien dessinés et tendus sous la caresse, alors que l'autre main se saisit de son visage quand l'autre gagne son cou. Leurs lèvres se frôlent et le jeune homme sent son cœur accélérer dans sa poitrine au simple sens du souffle d'Olivia heurtant ses lèvres. Cet air innocent, quasiment enfantin qu'elle arbore à de quoi faire tourner la tête, et un court instant, Cade sent que son cerveau n'est plus tout à fait irrigué à 100%, quand dans le même temps il la sent lui ôter son boxer. Le nouveau regard qu'elle lui décoche devrait être censuré et interdit pour les mineures, seulement elle est majeure et s'est toujours bien foutue des conventions. Après tout, il parait que s'envoyer en l'air avec l'un des meilleurs potes de son frère, ça se fait pas, tout comme il est inacceptable de s'envoyer avec la petite sœur de l'un de vos meilleurs amis. Personne ne le leur avait dit il faut croire ... Il sait qu'elle doit sûrement avoir un penchant pour le métier qu'il exerce, ou que tout du moins, cela ne retire en rien l'attraction qu'il y a entre eux. C'est sûr, il serait vendeur en électroménager que ce serait tout de suite beaucoup moins séduisant ! « Toujours cet incendie impossible à circonscrire à ce que je vois ... C'est avec un plaisir non contenu que je vais m'en charger Mademoiselle ... » Lui décochant un regard qui voulait tant dire et qui ne manquerait sûrement pas lui aussi de devoir figurer dans les censures à faire tomber, il ne manqua pas un instant avant de s'emparer passionnément de ses lèvres et de l'embrasser comme si c'était leur première fois et qu'ils étaient tous les deux impatients. Bien sûr qu'ils étaient impatients, mais c'était loin d'être leur première fois. Ah, quel doux petit euphémisme ... Peu à peu, ses lèvres se trouvèrent comme aimantées vers la poitrine nue d'Olivia, et c'est avec un sourire non contenu que Cade ne manqua pas de s'emparer de l'un des seins de la jeune fille avec ses lèvres, alors qu'en parallèle, il rapprochait la cambrure des reins d'Olivia de ses reins à lui. Il n'y avait pas plus de temps à perdre en ronds de jambes inutiles, et doucement, sans brusquerie mais sans hésitation non plus, il ne fit plus qu'un de leurs corps.
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CADE&OLIVIA ϟ cause you know that i'm better than all your bitch.
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